Skip to content

Histoire et mission

Le festival nait d’une idee folle d’un groupe de quatre passionnés de l’audiovisuel: Dominique Mestdagh, Sarah Vernhes, Camille Vernhes et Jillian Vernhes, animés par l’envie de partager leur amour du cinéma et de faire rayonner la culture dans leur département tout en mettant les femmes a l’honneur. 

Ce projet est entre autres porté par leurs histoires personnelles. Les membres féminines de l’équipe sont nées et ont grandi au Nayrac, et se rappellent avec vivacité des rendez-vous cinéma organisés par la région à l’époque. Ceux-ci ont participé à construire leur imaginaire, à les questionner et les faire grandir. Sarah Vernhes est aujourd’hui elle-même scénariste et réalisatrice, et travaille sur des projets de courts et long-métrages qu’elle aimerait un jour réaliser dans sa région natale. Il lui tient à cœur de faire partager ce métier passion et son savoir-faire. 

Dominique Mestdagh est acteur, metteur en scène, et féru de théâtre et de cinéma. Installé au Nayrac depuis Août 2020, il anime aussi la section cinéma et théâtre du Foyer Rural du Nayrac.

Les objectifs du festival Cineyrac

Nouveautés de la deuxième édition

Le deuxième édition s’inscrit dans la continuité pour l’équipe organisatrice suite aux messages de soutien du public, des intervenantes et des acteurs locaux – notamment La Sous-Préfète, La Présidente du Conseil Régional Occitanie, Le Président du Département Aveyronnais et Le Président de la Communauté de Communes Comtal-Lot-Truyères.  

Preuve de ce soutien, Annabelle Amoros, réalisatrice dont le dernier court Tornades est en lice aux Césars 2025, s’engage auprès du Festival en tant que marraine de cette deuxième édition. 

L’objectif second du Festival est de continuer à toucher un public plus large et de développer une reconnaissance au niveau régional.  

Toutefois, les objectifs premiers du projet demeurent. Ceux-ci sont toujours aussi pertinents pour l’équipe du Festival dans le contexte actuel ou accéder à la culture n’est pas toujours facile et ou l’échange et les connexions avec l’Autre semblent être des clés vers un monde plus apaisé.